[ Photo © Eric Laforge ]
Hier après midi, je suis donc descendu à Valence avec la tuture de ma môman. Et j'en suis rentrée hier soir, saine et sauve de ce périple de 120 km aller - retour. Bien sûr, personne n'en doutait. * regard sévère *
Libre comme l'air, je suis donc descendu tôt... par obligation. Devant faire tamponner mon bulletin de notes du semestre 5 (une erreur de plus de ma future ancienne fac qui oublie les tâches d'encre officialisant nos bouts de papier. On est plus à ça près) par la secrétaire je suis arrivée à 16h, sont bureau fermant à 16h30. Bon, ça n'a rien changé. Elle n'est jamais là, et hier n'était pas l'exception qui confirme la règle. Heureusement que quelqu'un d'autre a pu le faire. Bref. Le hic, c'est que mes répétitions de théâtre, elles sont de 19h à 21h. Du temps à tuer, j'en ai eu, et pas qu'un peu. Et je n'ai trouvé, comme seule occupation digne de ce nom :faire chauffer la carte bleue le shopping. Ce qui m'a permis de me trouver, entre autres, un petit gilet 100 % coton à H&M donc je suis totalement fan de la matière. *-* Et deux autres petits achats (elle a pas tant chauffer que ça, la CB ^^ ) dont je vous parlerais demain.
Je vous passerais mon petit temps pris pour manger, pour vous parler de mon gros problème de 21h : la radio. En arrivant devant la salle de répétition, j'ai enlevé l'autoradio, par sécurité. Deux heures plus tard, en voulant reprendre la voiture pour rentrer chez moi, la chose que je pensais astucieuse m'est apparu comme purement stupide : je ne sais pas le remettre. Ce qui ne m'aurait pas tant embêtée si j'avais été à 10 km de chez moi. Mais 60 km sans un fond sonore pour me distraire, sans moi. Je suis donc restée une bonne dizaine de minutes à enfoncer l'autoradio dans tous les sens, à le pousser à droite, gauche, tout droit... Rien à faire : je pensais avoir essayée toutes les solutions, et je mourrais de plus en plus de chaud dans la petite panda. Et là, illumination : sur la droite, un petit bout de plastique empêchait le machin de s'emboiter parce qu'il fallait l'insérer dedans. ^^" C'est donc avec bonheur - et sueur - que je pouvais prendre le chemin du retour.
Sauf que, à peine j'entamais ma marche arrière, une nouvelle abomination m'est apparu : le talk de fun radio. Zappage rapide sur NRJ & Virgin radio... idem, des talk. (Vous savez, c'est les heures où des animateurs parlent dans le micro et font venir des gens à l'antenne.) Autrefois - au collège quoi - j'adorais ça. Surtout un en particulier, j'étais totalement fan. ça me faisait rire et c'était plutôt distrayant avant d'aller se coucher. Mais là... autant je suis sûre que les animateurs peuvent avoir des sujets de conversation passionnants, autant moi j'avais envie d'entendre de la musique. Et pas un gamin de 13 ans venant parler de ses hémorroïdes. Lui, c'était le collégien type en plein dans sa période d'adolescence, qui aboie et montre les dents au premier facteur qui passe. Ou au premier animateur qui rigole de son histoire, au choix. Bref, lui, il venait dire à la radio, sur une station que personne n'écoute, surtout pas les jeunes de son âge on est bien d'accord (...), qu'il avait été opéré des hémorroïdes, qu'il ne l'avait dis qu'à ses meilleurs copains, et que maintenant que deux filles de sa classe le savait, c'était devenu l'enfer pour lui. (elles se moquaient quoi. Faut dire qu'en traitant l'une des filles de thon, il l'avait bien mérité.) Et bien sûr, pour être sûr que personne ne soit au courant, il a spécifié son prénom, son âge, sa ville, et a profité de l'occasion pour faire une dédicace à une ribambelle de potes ainsi qu'à "tous ceux qui le reconnaissent". Logique.
Hier soir, je me serais donc bien passé de ça pour profiter d'un peu de musique. Sauf que, je n'avais pas pensé à prendre un CD ou deux avec moi. Et pour avoir supporté les autres histoires de diarrhées des animateurs - et autres sujets tout aussi passionnants - je n'ai eu le droit qu'à trois chansons, en 1h.
Alors si ça me faisait rire au collège (quoique je ne me souviens pas d'avoir entendu ce genre de choses non plus), c'est fini. Les talk et moi, on divorce.
Libre comme l'air, je suis donc descendu tôt... par obligation. Devant faire tamponner mon bulletin de notes du semestre 5 (une erreur de plus de ma future ancienne fac qui oublie les tâches d'encre officialisant nos bouts de papier. On est plus à ça près) par la secrétaire je suis arrivée à 16h, sont bureau fermant à 16h30. Bon, ça n'a rien changé. Elle n'est jamais là, et hier n'était pas l'exception qui confirme la règle. Heureusement que quelqu'un d'autre a pu le faire. Bref. Le hic, c'est que mes répétitions de théâtre, elles sont de 19h à 21h. Du temps à tuer, j'en ai eu, et pas qu'un peu. Et je n'ai trouvé, comme seule occupation digne de ce nom :
Je vous passerais mon petit temps pris pour manger, pour vous parler de mon gros problème de 21h : la radio. En arrivant devant la salle de répétition, j'ai enlevé l'autoradio, par sécurité. Deux heures plus tard, en voulant reprendre la voiture pour rentrer chez moi, la chose que je pensais astucieuse m'est apparu comme purement stupide : je ne sais pas le remettre. Ce qui ne m'aurait pas tant embêtée si j'avais été à 10 km de chez moi. Mais 60 km sans un fond sonore pour me distraire, sans moi. Je suis donc restée une bonne dizaine de minutes à enfoncer l'autoradio dans tous les sens, à le pousser à droite, gauche, tout droit... Rien à faire : je pensais avoir essayée toutes les solutions, et je mourrais de plus en plus de chaud dans la petite panda. Et là, illumination : sur la droite, un petit bout de plastique empêchait le machin de s'emboiter parce qu'il fallait l'insérer dedans. ^^" C'est donc avec bonheur - et sueur - que je pouvais prendre le chemin du retour.
Sauf que, à peine j'entamais ma marche arrière, une nouvelle abomination m'est apparu : le talk de fun radio. Zappage rapide sur NRJ & Virgin radio... idem, des talk. (Vous savez, c'est les heures où des animateurs parlent dans le micro et font venir des gens à l'antenne.) Autrefois - au collège quoi - j'adorais ça. Surtout un en particulier, j'étais totalement fan. ça me faisait rire et c'était plutôt distrayant avant d'aller se coucher. Mais là... autant je suis sûre que les animateurs peuvent avoir des sujets de conversation passionnants, autant moi j'avais envie d'entendre de la musique. Et pas un gamin de 13 ans venant parler de ses hémorroïdes. Lui, c'était le collégien type en plein dans sa période d'adolescence, qui aboie et montre les dents au premier facteur qui passe. Ou au premier animateur qui rigole de son histoire, au choix. Bref, lui, il venait dire à la radio, sur une station que personne n'écoute, surtout pas les jeunes de son âge on est bien d'accord (...), qu'il avait été opéré des hémorroïdes, qu'il ne l'avait dis qu'à ses meilleurs copains, et que maintenant que deux filles de sa classe le savait, c'était devenu l'enfer pour lui. (elles se moquaient quoi. Faut dire qu'en traitant l'une des filles de thon, il l'avait bien mérité.) Et bien sûr, pour être sûr que personne ne soit au courant, il a spécifié son prénom, son âge, sa ville, et a profité de l'occasion pour faire une dédicace à une ribambelle de potes ainsi qu'à "tous ceux qui le reconnaissent". Logique.
Hier soir, je me serais donc bien passé de ça pour profiter d'un peu de musique. Sauf que, je n'avais pas pensé à prendre un CD ou deux avec moi. Et pour avoir supporté les autres histoires de diarrhées des animateurs - et autres sujets tout aussi passionnants - je n'ai eu le droit qu'à trois chansons, en 1h.
Alors si ça me faisait rire au collège (quoique je ne me souviens pas d'avoir entendu ce genre de choses non plus), c'est fini. Les talk et moi, on divorce.
Kawaii humeur du jour :
S'il continue à faire ce temps,
dimanche c'est direction la
piscine (dans ma famille). ^^
ça sera aussi l'occasion pour moi
de jouer avec mes deux petites
cousines, Lily-Charlotte & Charlène. =p
Merci pour ton soutien ma belle, oui je vais tenter d'en parler avec lui.
RépondreSupprimerEn tout cas ma puce sache que ton article m'a beaucoup fais rire ^^
Les talks et moi qu'elle grande histoire d'amour, moi aussi au collge j'etais fan, surtout de Max avec Melanie tu connais?
C'étais genial cette epoque lol on pouvait y apprendre plein d'astuces :) Aujourd'hui ca parle plutot caca et capote douteuse, dommage!!!
En tout cas je te fais de gros bisou et suis pressé de te lire demain^^ Met des photos de tes achats :)
Bisouille puce (l)
Ahaha ton article.
RépondreSupprimer(ouais je sais des fois mes commentaires sont inutiles, que veux-tu on change pas les demi-blonde/brune, faut l'avouer que c'est une bonne excuse ça!).
J'ai été élevée avec Lovin' Fun (je sais, je suis vieille, j'assume) et je dois vraiment devenir une vielle conne, parce que je trouve que le niveau était quand même meilleur à l'époque, les libres antennes, je peux plus, ça me donne envie d'exterminer tous ces ados décérébrés!
RépondreSupprimer120 km de Valence? Mais tu es Ardéchoise?
RépondreSupprimerPour les talks, idem. Ado, j'écoutais ça et ça me faisait bien rire. Maintenant, ça me gonfle plus que ça me distrait. Et puis pas moment j'ai l'impression que c'est du faux...enfin bref, je suis passée à autre chose aussi ;)
@++
quelle histoire !!
RépondreSupprimerYumie : De rien. J'ai vu qu'il s'était excusé. =) Je suis contente que vous ayez pu en parler, c'est important je trouve. ^^
RépondreSupprimerC'est clair, tu résumes totalement les talks d'aujourd'hui. >.< C'est décourageant. xD Par contre je connais pas ceux dont tu me parles. À l'époque, j'écoutais NRJ et Europe 2. =)
Monologueuse : xD (mes réponses en commentaire ne sont pas toujours plus constructives on dirait. xD )
Vicky : Non, tu es juste lucide, pas conne. C'est totalement différent. =D (ou alors je suis une vieille conne aussi, mais ça me convient pas. Et toc. =p )
Dannysworld : Je suis à 60 km de Valence, 120 c'est l'aller/retour. =) Et oui, je suis Ardéchoise, toi aussi ?
Marinette : Une histoire sans "tout est bien qui finit bien". ;)