Être malade, c'est pas drôle, et vous en conviendrez tous. La piqûre de rappel de la semaine passée ne m'a d'ailleurs pas fait changer d'avis. Et pourtant, certaines personnes se complaisent à être malade. Si si, y a des gens qui le sont toujours. Ou du moins, elles vous disent toujours qu'elles ont un truc super rare, super grave, et que leur médecin ne peut rien pour elle. Si vous n'avez pas ça dans votre entourage, je peux vous présenter un spécimen de grande qualité, encore très bien conservée après vingt ans de vie sur terre. Comme quoi, la science fait des miracles. Du coup, j'ai cherché à comprendre. Et donc, j'ai regardé du côté du "pourquoi c'est bien d'être malade ?"
Une première chose fabuleuse m'est tout de suite apparue à l'esprit : quand on est malade, on ne s'ennuie pas. Ouais, on est capable de s'allonger là, sur les deux lits qui nous servent de grand lit, et de regarder de loin l'écran d'ordinateur du chéri qui a temporairement décidé de décimer des bonshommes en treillis - avant de se faire décimer à son tour par un joueur encore plus habile que lui - pour vous laisser vous reposer... sans s'en lasser. Deux possibilités : soit on s'est transformé en poisson rouge à la capacité mémorielle de trois secondes. Soit il est grand temps de dormir.
Quand on ne boit pas d'alcool (pour des raisons X ou Y dont "je n'aime pas le goût" sera la mienne), on ne sait pas quel effet ça fait d'être "bourré". Aucun intérêt peut-être, mais c'est sans doute aussi une expérience à faire, au moins une fois dans sa vie. Et bien, en étant malade, c'est gagné. Parfois, le médecin force sans doute un peu le dosage de certains médicaments, dont celui de ce qu'on appelera le "M." Deux gelules = planage assuré pendant près de 2h. Effet déclenché 30 minutes après la prise des médicaments. Quand on est malade, ça donne donc ça : 8h40. Départ pour le Mc Donald, on commence à 9h. Obligée de prendre la voiture, on évite de prendre les cachets avant pour cause de petit frère alarmiste 'fait attention ça fait planer !' La notice ne fait mention que des éventuelles allergies, mais soit, on est prudent. 9h, prise des deux gellules... et 9h30, c'est le drame. Impression de ne pas être dans son corps, de tout faire d'un extérieur très extérieur à soi-même... Petite crise de fou rire en expliquant à une collègue "j'ai l'impression de planer" et mode automatique totalement 'on' pour remplir les frigos de bouteilles, yaourths, compotes et autres aliments divers et variés. Pourtant, c'est pas faute de pas essayer de se réveiller.
Etre malade, c'est aussi un peu comme si on était devenu "Ma sorcière bien-aimée". Et mieux : sans avoir à remuer du bout du nez. Comme par magie, la vaisselle se fait toute seule. Un peu moins vite que lorsqu'on utilise ses petites mains parce que le chéri qui fait les effets spéciaux n'a pas une fonction 'lave-vaisselle' intégrée. On l'excusera d'avance. =D
Evidemment, si on peut compter sur les doigts de la main ces trois pseudos avantages, on ne peut pas encore dénombrer les inconvénients. Soit, le mieux lorsque vous voulez essayer de vous la jouer "spécimen bien conservé par la science malgré les maladies à répétition que le médecine ne peut ni soigner ni comprendre", le mieux donc, c'est de se choisir des symptomes pas trop visibles (parce que simuler des douleurs aïgues de l'estomac ou des saignements de l'oreille, c'est pas toujours très facile ni agréable) qui permet d'avoir les avantages, sans les inconvénients.
Une première chose fabuleuse m'est tout de suite apparue à l'esprit : quand on est malade, on ne s'ennuie pas. Ouais, on est capable de s'allonger là, sur les deux lits qui nous servent de grand lit, et de regarder de loin l'écran d'ordinateur du chéri qui a temporairement décidé de décimer des bonshommes en treillis - avant de se faire décimer à son tour par un joueur encore plus habile que lui - pour vous laisser vous reposer... sans s'en lasser. Deux possibilités : soit on s'est transformé en poisson rouge à la capacité mémorielle de trois secondes. Soit il est grand temps de dormir.
Quand on ne boit pas d'alcool (pour des raisons X ou Y dont "je n'aime pas le goût" sera la mienne), on ne sait pas quel effet ça fait d'être "bourré". Aucun intérêt peut-être, mais c'est sans doute aussi une expérience à faire, au moins une fois dans sa vie. Et bien, en étant malade, c'est gagné. Parfois, le médecin force sans doute un peu le dosage de certains médicaments, dont celui de ce qu'on appelera le "M." Deux gelules = planage assuré pendant près de 2h. Effet déclenché 30 minutes après la prise des médicaments. Quand on est malade, ça donne donc ça : 8h40. Départ pour le Mc Donald, on commence à 9h. Obligée de prendre la voiture, on évite de prendre les cachets avant pour cause de petit frère alarmiste 'fait attention ça fait planer !' La notice ne fait mention que des éventuelles allergies, mais soit, on est prudent. 9h, prise des deux gellules... et 9h30, c'est le drame. Impression de ne pas être dans son corps, de tout faire d'un extérieur très extérieur à soi-même... Petite crise de fou rire en expliquant à une collègue "j'ai l'impression de planer" et mode automatique totalement 'on' pour remplir les frigos de bouteilles, yaourths, compotes et autres aliments divers et variés. Pourtant, c'est pas faute de pas essayer de se réveiller.
Etre malade, c'est aussi un peu comme si on était devenu "Ma sorcière bien-aimée". Et mieux : sans avoir à remuer du bout du nez. Comme par magie, la vaisselle se fait toute seule. Un peu moins vite que lorsqu'on utilise ses petites mains parce que le chéri qui fait les effets spéciaux n'a pas une fonction 'lave-vaisselle' intégrée. On l'excusera d'avance. =D
Evidemment, si on peut compter sur les doigts de la main ces trois pseudos avantages, on ne peut pas encore dénombrer les inconvénients. Soit, le mieux lorsque vous voulez essayer de vous la jouer "spécimen bien conservé par la science malgré les maladies à répétition que le médecine ne peut ni soigner ni comprendre", le mieux donc, c'est de se choisir des symptomes pas trop visibles (parce que simuler des douleurs aïgues de l'estomac ou des saignements de l'oreille, c'est pas toujours très facile ni agréable) qui permet d'avoir les avantages, sans les inconvénients.
Kawaii humeur du jour :
Youpi tralala ! Je suis toute guerrie.
ça, ça fait juste super plaisir ! =D
Je suis malade actuellement, une sinusite depuis mercredi
RépondreSupprimerdu coup vendredi tellement hs que incapable d'aller bosser.
là je me sent un peu mieux, mon cerveau sort de son brouillard.
Moi j'ai pas de médoc qui me font plané , ouff
parceque j'imagine pas le bordel que ça serait.
ENfin moi j'aime pas etre malade, a part se faire chouchouter par sa maman, j'vois pas trop ce qui est cool.
Haha, bien sûr j'ai terriblement horreur d'être malade hein. ;)
RépondreSupprimerComme je le dis dans l'article, ce sont 3 avantages contre beaucoup trop d'inconvénient.